" Nyx Kurotsuki " Âge : 17 ans, non Date de naissance : 31 Mai Lieu de Naissance : Kyoto Sexe : féminin Race : Tenebrae (loup garou) Orientation sexuelle : hétérosexuelle Profession : étudiante

Physique

Nyx est une fille, vous l'aurez remarqué je pense. Elle a une allure plutôt banale, elle est propre sur elle, heureusement pour elle d’ailleurs, et elle est assez grande, 1mètre70, une taille qu'elle trouve acceptable pour une fille, et je confirme, trop grand ce n'est pas joli. Ses cheveux sont blancs et longs, très longs, elle n'a jamais réussi à trouver le courage de les couper et c'est mieux comme ça. Lisses, ils ondulent légèrement sur la longueur. Son visage est en triangle ce qui lui donne une expression douce, bien qu'elle ne le soit pas toujours. ses yeux sont étranges, en amande, il ont une couleur multicolore, étonnement beaux, ils attirent les regards dessus aux premiers coups d’œil. De petites lèvres fines, un petit nez droit ornent son visage. Ses courbes fines mais remplies font d'elle une jeune fille assez attirante, mais ne vous y fiez pas, elle n'est pas une idiote et ne se laissera pas toucher par le premier venu.

Psychologique

Nyx est assez caractérielle, une vrai petite diablesse. elle ne parait pas comme ça hein ? Mais en vérité elle est une vrai chipie. Prête à tout pour ne pas se faire remarquer elle est aussi réservée mais loin d'être timide, si elle a quelque chose a dire elle le dit et pas avec le dos de la cuillère. Sa fierté est omniprésente, elle est tout le temps sur ses gardes méfiante aussi. Je vous conseille de ne pas la chercher parce qu'elle est plutôt douée pour se protéger, cependant derrière ce caractère se trouve une jeune fille en mal d'amour et d'attention. Attention cependant ne vous attendez pas à ce qu'elle vous fasse une déclaration, les histoires a l'eau de rose, elle n'y croit pas, elle sait que ce n'est pas pour elle. Par ailleurs elle ne sait même pas elle même ce qu'elle recherche. Elle se cherche, elle se pose des question, mais elle ne change pas, elle a et aura toujours de la compassion et le cœur sur la main.

Tics & Manies

Des tics ? pfff franchement quelle idée, notre Nyx est parfaite !! Non sérieusement même elle n'y croit pas, tenez par exemple lorsqu'elle se sent fatiguée, elle entortille ses cheveux autour de ses doigts et quand elle dort, elle est obligée de respirer l'odeur de quelque chose, comme sa couette ou un tee shirt de son chéri. Elle a la sale manie de devoir toujours s'occuper les mains quand elle ne fait rien, par exemple déchirer un papier méthodiquement. Lorsqu'elle s'ennuie, elle dort tout simplement ou alors elle se promène sous forme de louve mais rien de spécial.

Relations

Oui une mère qui est morte et un père qu'elle n'a pas connu quant à sa situation amoureuse, no comment, elle ne cherche pas, elle attend que le moment vienne.

Pouvoir et Dons

- Pouvoir : elle se transforme en louve, puis peut reprendre sa forme humaine mais elle n'est jamais mi-louve mi-humaine. - Dons : influence et lecture de pensée - Armes : ses crocs - Compagnon : non

Ambitions & Rêves

Retrouver son père et développer ses pouvoirs pour le tuer.

Histoire

L'histoire se passe dans une petite ville du japon, Kyoto. Dans cette ville banale habitent des gens normaux, des humaines ignorants. Ils pensent tout savoir sur tout, connaître le monde dans toute sa totalité mais ce qu'ils ne savent pas c'est qu'il existe d'autres races dans ce monde. Ce qu'ils ne savent pas ne peut pas leur faire de mal. Voila mon point de vue, autant les laisser penser qu'ils contrôlent tout et vivre notre vie tranquillement, après tout essayer de cohabiter ne causerait que des soucis alors pourquoi s’embêter ? Je suis Nyx, une louve garou, et je vais vous raconter l'histoire de ma modeste vie, rien de très intéressant, juste de quoi vous expliquer qui je suis, si vous n'êtes pas prêt à m’écouter déblatérer mes histoires, passez votre chemin vous n'avez rien à faire ici ... D'abord, je suis née à 23h30 précisément, dans une petite chambre d’hôtel. Le docteur porter était un étranger, un américain. Il était aussi mage que nous étions loup-garou et il nous avait toujours été très utile en cas de maladie. Mes parents ne faisaient pas assez confiance aux humains pour les côtoyer, ils se contentaient juste de sortir pour faire le minimum, rien que ça, les courses, les livres pour étudier ( elle refusait que je reste ignorante, et dès mon plus jeune age elle m'avait enseigné ce qu'elle savait et ce qu'elle lisait dans les livres ). Ma naissance avait été, pour ma mère, une source de bonheur, enfin ça c'est ce qu'elle avait toujours voulu me faire croire. Elle m'aimait mais elle m'en voulait aussi, inconsciemment. Ce matin de mai, le dernier jour du mois, elle avait appelé mon père, elle sentait que c’était pour aujourd'hui, pourtant il ne répondait pas, occupé au travail se disait-elle, mais elle était loin de se douter qu'il avait déserté la maison. En effet, je venais au monde qu'il n'avait pas donné signe de vie. Même deux semaines après elle l'attendait toujours, sur le pas de la porte, toujours rien. Ce n'est qu'à la fin de chaque semaine qu'elle recevait un chèque, pour survivre suivi d'un mot, plié en deux. Elle me l'avait déjà montré, le papier jauni avait encore la marque appuyée de l'écriture bourrue de mon père, un mot figuré au milieu de la page, si peu mais pourtant si claire, le message était passé et elle avait compris. " désolé " Depuis le jour de mes quinze ans, quand elle m'avait tout expliqué, je fus prise d'une rage soudaine, violente, un feu embrasait ma poitrine si violemment, que j'avais l'impression que je brulais, une haine si pure qu'elle en était presque belle. Je me jurais de le retrouver cette ordure, ce lâche, il avait laissé ma pauvre mère s'en tirer tout seule, sans personne pour l'aider à élever sa fille. Plus tard, vers mes 16 ans, je fus inscrite dans une académie spéciale, pour nous les erreurs de la nature selon quelques politiques. Au début, j'avais supplié ma mère de renoncer à cette idée mais tête de mule comme elle était elle avait refusé de discuter plus de ça. Elle m'y accompagna donc, un matin, munie d'une valise pleine et d'un sac à dos. Les elèves étaient tous différents, personne ne se ressemblait mais ils étaient tous issus d'une race différente de la mienne de ce que je voyais, ou alors n'avais je pas bien regardé. Ma mère me laissa devant ma chambre après m'avoir aidé à m'installer puis repartit après m'avoir embrassé et parlé au proviseur. J'y étais, j'étais seule a présent. Je logeais au pensionnat depuis quelques mois quand un jour je fus convoquée chez le proviseur. Jamais je n'aurais pensé qu'il m'apprendrait cela, jamais je n'aurais imaginé ressentir une telle tristesse, un tel désespoir... Ma mère avait décidé d'en finir, elle avait fait ce qu'elle avait à faire et avait assuré mon avenir en mettant tout ce que l'on possédait sur un compte dont j'hériterais à mes 18 ans. Elle s'était tailladé les veines et c'était fini. Maintenant plus que jamais je ressens ce vide logé dans mon ventre, je le retrouverais un jour, je le sais ... en attendant, je garde le pendentif de ma mère précieusement, maman ... tu me manques ...