Kyota Takahashi
Date de naissance : 23/06/1992
Age : 32
Zodiaque :
| Sujet: Kyota Takahashi [Validé] Mar 21 Fév 2012 - 8:58 | |
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" Kyota Takahashi "
Âge : Kyota a 19 ans et il les fait, enfin normalement.
Date de naissance : 23 juin 1992
Lieu de Naissance : A Tokyo, au Japon.
Sexe : c'est un homme bien sûr !
Race : Istari
Orientation sexuelle : sans doute : hétérosexuel.
Profession : Étudiant le jour, barman le soir.
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| Banal et plein de charme. Beaucoup de personnes pensent que Kyota a l’un de ses physiques que l’on voit partout dans son pays. Un physique banal, une tête de monsieur comme tout le monde, mais néanmoins un physique plaisant, que l’on se complait à regarder grâce à sa symétrie la plus totale. Un peu plus grand que la moyenne : un mètre quatre-vingt, pour un poids tout à fait normal de soixante-quinze kilos, il ne reproche rien à son corps et surtout à sa musculature discrète. Sauf une cicatrice tout le long de son dos, dû à une brulure, mais seules deux personnes sont au courant de l’existence de celle-ci. Brun, les cheveux mi-longs, il aime les attacher laissant ses mèches trop courtes de devant tomber tel une crinière le long de son visage fin. Trop fin au goût du jeune homme. Il pense souvent que si son corps n’avait pas joué en sa faveur, il aurait l’apparence d’une femme à cause de ce visage. De grands yeux gris, des sourcils fins, un nez petit et droit ainsi que de fines lèvres, il n’aurait rien à envier à certaines femmes d’ailleurs. Mais ses tenues vestimentaires en diffèrent totalement. Certes il ne se différencie pas des autres par son look vestimentaire : jeans, baggys, vestes, sweats, tee-shirts, il peut porter tout et n’importe quoi du moment que cela ne reste pas barioler et dans des styles donc bien masculin, monsieur tout le monde quoi.
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| Au premier abord, on pourrait penser que Kyota est un être doué d’une intelligence extraordinaire. Ce qui est bien loin d’être le cas. A contrario, il est surtout muni d’un don très utile pour la mémoire. Il retient tout. C’est aussi simple que ça. On aurait pu penser que cela jouerais au début en sa faveur, mais bien loin de là. Au fur et à mesure qu’il a grandi, Kyota est devenue une personne très distante vis-à-vis des personnes qui l’entouraient. Il n’ose approcher, n’ose toucher, n’ose regarder et en voulait aux personnes qui l’avaient trop approché. De nature donc solitaire, ce n’est pas pour autant qu’il ne recherche pas l’amitié de quelqu’un. Mais son côté je suis cool mais distant a refroidi plus d’un mec, et briser pas mal de cœurs chez les filles. Ce n’était d’ailleurs pas le genre de personnes à plaire parce qu’il aimait rire avec ses potes, et draguer les jolies filles, non. C’était bien plus pour son côté mystérieux, froid et intelligent. Ainsi que son côté étrange qui en faisait craquer plus d’une. Mais personne ne pouvait le toucher sans qu’il s’énerve après tout ce qui bouge. Il savait pourquoi, mais personne n’était en mesure de le comprendre, ni même lui. Et expliquer ses bizarreries à ses parents lui paraissait d’un délire total. Alors il s’est toujours tu, toujours renfermé sur lui-même. Ne cherchant pas à être cool, ne cherchant pas à être distant, mais en y étant forcé. Cherchant l’amitié mais ne pouvait la trouver. La solitude pesant dans le cœur du jeune homme depuis bien des années jusqu’à ce qu’il décide d’en parler à ses parents. Aujourd’hui il a sans doute le cœur plus léger certes, mais les ennuis et les dix-neuf ans d’habitude sont toujours là. Et inconsciemment, il en voudra sans doute encore pour un bon moment au genre humain. |
| La seule chose que l’on pourrait définir comme une manie chez Kyota, c’est de triturer un dé qu’il a sans arrêt dans l’une de ses poches. Il ne le quitte jamais. Il a constamment besoin de le tourner et le retourner dans tous les sens lorsque que quelque chose ne va pas ou le gêne. Et généralement, c’est lorsque quelqu’un s’approche trop prêt physiquement de lui. D’ailleurs il ne faut pas s’étonner si il recul constamment si on s’approche donc de lui.
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| Kyota est né d’une mère istarienne, ce qu’il a très longtemps ignoré, et… d’un doute. En fait, officiellement il est le fils d’un autre istarien, le mari de sa mère. Mais en vous passant les détails, la vie a fait que sa mère est allée voir ailleurs, et qu’aujourd’hui, seul Kyota et sa mère ne savent pas vraiment de qui Kyota est. Mais il a vécu avec eux durant toute sa jeunesse dans le monde des humains, supportant le désordre qui régnait entre ses parents officiels. Il s’isolait d’eux et voulait les voir le moins possible, sa mère pensant qu’il passait juste par sa période d’adolescence alors qu’il voulait juste ignorer ce qu’il avait vu dans son enfance. Sinon, sans cris et sans joies, il a vécu les repas de familles, les noëls et anniversaires à la maison, etc. avec ses oncles, ses grands-parents, qui tous voulaient espérer que Kyota soit lui aussi un istarien. Sa mère est aujourd’hui ce qu’on appellerait une « voyante » dans le monde des humains, merci au don de destinée, et son père un architecte assez vieux jeu.
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| - Pouvoir : Kyota maîtrise la magie, sous presque toutes ses formes et ceux, grâce à un dé qui n'a d'autre qu'à l'intérieur de lui son talisman pour pouvoir exercer ses pouvoirs. Grâce à sa mémoire, il a rapidement maîtriser les formules sans avoir à les chuchoter et en connait d'ailleurs pas mal. Il a juste encore un peu de mal à réussir à maîtriser les objets qui l'entoure. - Dons : Alors d'abord la mémorisation (1) ainsi que révolu (2.) - Armes : il lui arrive de se servir de son dé comme une arme, un dé dans l’œil lancé à toute vitesse ça peut faire mal ! - Compagnon : ~
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| Les seules ambitions de Kyota au jour d'aujourd'hui sont de réussir à maîtriser ses dons qui lui ont pourris la vie durant sa jeunesse. Mais aussi de réussir à se lier d'amitié avec quelqu'un.
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| Il était sûr à quatre-vingt-dix-neuf virgule neuf pour cent que ce n’étaient pas de simples rêves. C’était toujours les mêmes choses. Il voyait sans arrêt la même femme, et plus étonnant encore celle-ci avait des traits vraiment très ressemblant à ceux de sa mère. Cela commençait toujours de la même manière alors qu’elle était jeune, très jeune. Elle occupait ses journées en faisant d’étranges choses avec un dé. Mais plus étrange encore, le dé se trouvait être le même que Kyota possédait aujourd’hui, du moins il en avait vraiment l’air. Plus elle grandissait, plus ses choses étranges avec ce même dé s’amplifiaient. Au début, elle parlait fort et peu de choses en résultaient. Mais plus elle grandissait, plus une sensation de puissance émanait d’elle. Elle finit par devenir une femme et se maria avec un homme ressemblant étrangement à son père et qui semblait posséder lui aussi les mêmes « pouvoirs. » Plusieurs années de bonheurs passèrent, et cette même femme se mit à partir la journée, elle allait voir un homme, un autre homme, toujours le même homme pendant que son mari allait travailler. Elle riait avec lui, souriait de tout son cœur, elle ressemblait aux lycéennes qui découvraient la vie. Enfin, un petit garçon fut né, très ressemblant à Kyota d’ailleurs. Il sentait dans ce rêve des doutes s’installer dans les sentiments de cette femme. Elle qui devenait de plus en plus célèbre au Japon pour ses dons de voyances. Elle voyageait beaucoup, elle sortait beaucoup. Et quand elle rentrait chez elle tard le soir, elle montait dans la chambre de son jeune fils pour lui faire un câlin avant qu’il ne dorme. Puis rêve et réalité finissaient par se confondre car à la fin, il se voyait dans les bras de sa mère, paisible. Il semblait simplement dormir. Et lorsqu’il se réveillait, tout était fini. Plus le temps passait, et plus ses « rêves » se complétaient. Lorsque cela commença, il était très jeune. Ses souvenirs remontaient au plus loin à l’âge de quatre ans, mais il ne se souvenait pas du rêve même, juste d’une chambre d’hôpital. La première fois cela se produisit avec sa mère : elle se plaisait à raconter sans arrêt la peur que Kyota lui avait faite ce jour-là. Ils jouaient simplement dans un parc, à Tokyo, tous les deux. Il l’embêtait, elle tentait de l’attraper. Jusqu’à ce que sa mère réussisse à l’attraper, mais Kyota s’écroula sans prévenir, et sans que personne ne comprenne ce qu’il s’était passé. A l’hôpital, alors que Kyota venait à peine de se réveiller, sa mère décida de lui donner un petit dé. Il était inoffensif, c’était juste un dé, un cube avec des points dessus. Pourtant il avait l’air d’avoir de la valeur aux yeux de sa mère. Tellement de valeur qu’il lui avait promis de toujours le garder sur lui, quoi qu’il arrive. Mais comme si ce dé lui avait lancé une malédiction, ses rêves étranges se multiplièrent. Ils concernaient au début que sa mère, maintenant il en était certain car peu après son retour de l’hôpital, il la voyait, dans ses rêves, morte d’inquiétude le jour où Kyota s’était écroulé dans ce parc. Il voyait des passages de sa propre vie mais surtout, des passages de la vie de sa mère, lui n’entrait en jeu que lorsque sa mère et lui passait du temps ensemble. Puis vint son père. Sans s’endormir, durant le temps de quelques secondes, des rêves similaires à ceux qu’il faisait concernant sa mère se mirent à voir le jour dans sa tête. Au début, après sa première visite à l’hôpital, ces rêves lui donnaient des migraines intenses. Mais lorsqu’ils finirent par s’élargir à tout son entourage, les douleurs provoquaient par ceux-ci ne lui faisaient plus aucun effet. Plus il grandissait, plus il se rendait compte que le seul point commun qu’avait tous ses étranges rêves, c’était qu’ils lui arrivaient à chaque fois qu’il touchait une personne.
Il se mit à s’éloigner des personnes qu’il côtoyait, à fuir le contact des gens de peur que ces rêves apparaissent encore et encore. Cela aurait pu s’en tenir à là, si en plus on ne le déclarait pas intelligent. Les professeurs de son collège l’appréciaient pour ses bonnes notes. Il était admiré de tous pour cette soit disant intelligence. Tous pensaient qu’il était un bosseur acharné, alors qu’il avait une mémoire hors du commun. Tout ce qu’il voyait, tout ce qu’il entendait, il mémorisait tout sans exception, sans arriver à faire un tri dans sa mémoire. Il pouvait recracher tout et n’importe quoi sans le moindre effort. Alors les gens cherchaient à lui parler, à le voir, à le côtoyait pour son aide. Pour se servir de lui. Les professeurs voulaient lui parler encore et encore ravis de voir qu’un élève était si brillant. Ses évènements le forcer à se renfermer sur lui-même. Les gens le touchaient, ses rêves apparaissaient. C’était un cycle infernal. Un cauchemar dont il n’arrivait pas à se sortir. Il voulait en parler, était-il normal ? Mais la relation entre ses parents se détériorait de plus en plus et il n’arrivait pas à leur dire quoi que ce soit. Un soir, soir ni plus ni moins anormal que les autres, son père regardait la télé et sa mère finissait de cuisiner. Kyota lui se trouvait à faire ses devoirs dans la cuisine avec sa mère. Sa mère avait l’air morte d’inquiétude, une tension plus anormale que les autres régnée depuis que sa mère lui avait fait un tendre baisé sur la joue. Mais il ne cherchait pas plus loin, il travaillait juste pour le lendemain profitant de la présence de sa mère. Avec la notoriété de celle-ci qui avait augmenté, sa mère voyageait de plus en plus et rentré peu à la maison. Alors elle lui manquait, et ils profitaient tous les deux de chaque moments passaient ensemble. Sauf ce soir-là. Elle pétrissait énergiquement la pâte, perdue dans ses pensées. Jusqu’à ce que son regard se dirige vers l’horloge et que le son de la télé augmente tel un glas annonçant une fin certaine.
« La très célèbre voyante Takahashi-san a été surpris le soir dernier sortant d’un love hôtel en compagnie de son plus gros client, l’acteur XXX. Nos reporters ont tenté de les interviewer à la sortie de celui-ci mais… »
Oui, cette phrase sonnait la fin. Il eut le temps de se rendre dans le salon en courant pour voir à la télé cet homme et sa mère sortirent du bâtiment. Il ne fallut pas longtemps à Kyota pour réaliser la situation. Tout devenait bien plus clair à présent. Il reconnaissait cet homme que l’enfant voyait depuis tout petit dans ses rêves. Cet homme avec qui sa mère souriait autant depuis treize ou quatorze ans. Toutes ses questions qu’elle se posait quant au vrai père de Kyota. Et il avait vu exactement la même scène une heure plus tôt lors de leur première accolade avec sa mère depuis son retour de Kyoto. Les minutes suivantes s’enchaînèrent sans que le jeune garçon ne réalise quoi que ce soit. Il triturait dans sa poche le dé que sa mère lui avait offert plus jeune. Il n’arrêtait pas de le tourner dans tous les sens, de plus en plus vite. Il fit demi-tours vers la cuisine pour prendre ses affaires de cours, totalement déboussolé. Son père courut vers lui pour tenter de consoler son fils. Mais Kyota venait de se prendre plus qu’une claque dans la figure en apprenant que sa mère trompait son père. Même s’il avait compris depuis bien longtemps que ses rêves concerné le passé de chaque individu, il ne voulait pas croire en celui de sa mère depuis des années. Son père lui attrapa la main et un autre rêve apparut. Il aperçut son père pleurait tous les soirs lorsque sa femme n’était pas là. Tout ce mettait en place. Leurs comportements, les rêves, tout. Son père le lâcha lorsqu’il eut compris que son fils se trouvait en état de choc. Il continuait à tourner et retourner ce fameux dé jusqu’à ce qu’il arrive dans la cuisine. Sa mère s’agenouilla dans la cuisine, inconsolable. Pendant quatorze ans, cette histoire avait été un tabou pour le couple. Et ce tabou venait d’être prononcé au grand jour. Le dé tournait de plus en plus vite et soudain, il se mit à tourner tout seul alors que Kyota n’arrêtait pas de prononcer des mots incompréhensibles sous le coup de la colère. Un jet de flamme immense sortit subitement de la gazinière. Sa mère tentait de calmer son fils tant bien que mal, apeurée par la suite des évènements. Elle jeta son fils par terre pour lui faire éviter la flamme immense qui se dirigeait droit vers lui mais celle-ci lui arriva malgré tout directement sur le dos et le brûla à plusieurs centaines de degrés. Ils allèrent en urgence à l’hôpital et il y resta plusieurs semaines recevant les visites de toute sa famille. Les années passèrent et les cicatrices cicatrisèrent. Mais les souvenirs étaient bel bien là et Kyota était devenu totalement aujourd’hui totalement associable. Jusqu’au jour de ses dix-huit ans. Son anniversaire, en famille, avait été préparé dignement. Sa mère avait fait des efforts incommensurables pour préparer cette soirée. Non, depuis les évènements il y a 5 ans, sa mère faisait tous les efforts du monde pour son fils. Si c’était par pitié ou parce qu’elle s’en voulait, ça Kyota l’ignorait totalement du moment qu’elle le laissait tranquille. Mais un amas de questions s’était abattu sur lui depuis ce fameux soir. Que s’était-il passait ? Pourquoi savait-il déjà tout ? Pourquoi voyait-il le passé des autres ? Après en avoir parlé à sa mère le soir de ses dix-huit ans, ses parents le prirent à par le lendemain pour discuter. Cela fait un an que cette discussion avait eu lieu. Tout était maintenant très clair, mais sa peur du contact aux autres l’avait profondément marqué. D’autant plus qu’il ne voulait plus voir les différents passés haïssant ce qu’il voyait : les mensonges, les tromperies, le genre humain. Pour pallier à ça, une fois qu’il eut obtenu son diplôme au lycée, sa mère lui parla de la ville de Shandora, et du pensionnat Amagi. Malgré ses connaissances déjà énormes des différentes formules grâce aux livres et à sa mémoire, malgré ses talents pour maîtriser les éléments sans avoir à prononcer un mot. Sa maîtrise de ses dons l’empêcher au jour d’aujourd’hui de vivre. Il y eut à nouveau une longue discussion, et les avantages que sa mère lui avait cité l’avait largement convaincu pour partir. C’est ainsi qu’à l’heure actuelle où nous parlons, Kyota se trouve dans l’avion en direction de Shandora et de son pensionnat.
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- En cas de suppression de votre compte, autorisez-vous le forum « Pensionnat Amagi » a transférer cette fiche d’identité dans les personnages pré-définis ? Non. Je suis égoïste =3
Dernière édition par Kyota Takahashi le Jeu 23 Fév 2012 - 18:50, édité 14 fois |
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